Après les épreuves scolaires ( de maths, de roumain et d’histoire-géographie), on attendait avec impatience l’excursion en
Transylvanie.
Départ , le 23 mai , à six heures du matin .
Le premier jour, après une courte escale à
Poiana Sărată , on a visité les châteaux
Peleş et
Pelişor, deux châteaux vraiment magnifiques qui nous a laissé une très bonne impression, on se croyait les personnages d’un conte de fées, tout autour de nous brillait et on rêvait aux premiers résidents du château,
Carol I et sa famille.
Une averse nous a pressé rejoindre le car. Le voyage a continué jusqu’au soir quand on est arrivé à
Păltiniş, où l’on devait loger . C’était un coin de paradis au sommet des montagnes où régnait un profond silence (jusqu’à notre arrivée bien sûr !!!) .
Après l’hébergement et une courte visite des environs , on s’est éclaté à la disco jusqu’à minuit.
Le 24 mai , après le petit déjeuner, on a fait la ville de
Sibiu, plutôt le centre historique
(Piaţa Mare, Piaţa Mică, Podul Mincinoşilor, Biserica Evanghelică) . À midi, affamés et assoiffés, on a pris le déjeuner, on est partis après avoir mangé à notre faim.
L’après – midi , le
Musée de la Civilisation Populaire Traditionnelle « Astra » a été un vraiment un régal. Toutes les zones ethnographiques de la
Roumanie y sont présentes, le musée étant le plus grand et le plus riche musée de
Roumanie (149 monuments et 346 constructions). C’était vraiment génial, ce musée ! On a fait à peu près 10 km à pied, mais tout cela a valu la peine.
De retour à
Păltiniş, étant notre dernière soirée loin de
Bacău, le temps semblait voler trop vite .
Le dernier jour de voyage a commencé par le petit déjeuner et aussi par une petite balade en téléphérique ou téléski. Les photos prises à cette occasion n’ont pas besoin d’autres commentaires .
On pensait avoir plus de temps à visiter
Sighişoara, pourtant après une courte visite , on est allés se restaurer dans un très joli restaurant (de la bonne
bouffe, quoi !) , finalement , à cause de la pluie, on n’a réussi qu’à visiter
Turnul cu Ceas, où l’on a eu une vue panoramique de la vieille cité.
Dans une atmosphère de joie, d’allégresse , d’enthousiasme on s’est dirigés vers notre ville, en traversant des régions mirifiques, on ne sentait pas la fatigue des nuits assez courtes du dernier temps. On ne nous restait qu’à remémorer les instants magiques de ce voyage et penser, pourquoi pas, à un prochain voyage.
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