samedi 22 novembre 2008

Global Educational Week/ Semaine Mondiale de l'Éducation/Săptămâna educaţiei globale





Depuis 1999, chaque année a lieu la Semaine de l’Éducation Globale où les élèves à coté de leurs professeurs, marquent cet évènement par divers activités : expositions de dessins ou de photos, des essais. Ce projet a démarré en Roumanie il y a 7 ans à Sibiu , à l’heure actuelle il y a des activités dédiées à l’évènement dans tous les départements du pays. La devise de cette année s’intitule « Six milliards —une seule humanité » ( en anglais Six billion-ONE humanity).
La semaine de l’éducation à la citoyenneté mondiale est une occasion pour les élèves , les professeurs de mettre en place un projet d’éducation à la citoyenneté mondiale visant le respect de la diversité , de rendre le monde plus équitable, d’être plus responsable vers l’environnement.
Les élèves de l’École « Ion Creangă » Bacău et de l’Ecole 10 Bacău, ont participé le 20 novembre, à la Semaine Mondiale de l'Éducation par des présentations de diapositives power-point. Les élèves de ces deux écoles ont présenté des détails culturels et de civilisation sur les pays européens (détails sur les coutumes, les habitants, la gastronomie, les monuments importants). On a présenté la France , la Finlande, la Belgique, l’Estonie, l’Andorre, la Grèce et la Suède.
Les meilleurs créations power-point ont reçu des diplômes , les participants à ce projet ont eu l’occasion d’apprendre des informations intéressantes sur les pays européens et surtout sur leur spécifique national. C’était une invitation au voyage à travers l’Europe et le monde et en même temps, d’avoir la conscience du vaste monde et du rôle de chacun comme citoyen de l’Europe et du monde, d’envisager les différences interculturelles.
À part les élèves , au projet ont participé les coordinateurs de ce projet , les professeurs Ionescu Lenuţa et Boca Liminiţa , le directeur de l’École «Ion Creangă » Vieru Florentina et les professeurs de français Pâslariu Mary et Popa Cristian.

vendredi 14 novembre 2008

La contrepèterie ou l'art du contrepet





La contrepèterie

Selon le dictionnaire Le Petit Larousse ,la contrepèterie a son origine dans l’ancien français contrepéter, imiter par dérision et c’est une interversion plaisante de lettres ou des syllabes dans un groupe de mots, par exemple trompez sonnettes , pour sonnez trompettes.

François Rabelais (1494-1553) passe pour avoir été l'inventeur de ce procédé qu'il nomme Antistrophe.,appelée aussi Equivoque.

L’art du contrepet impliquer la levée de la censure sociale et des tabous. Il permet aux pulsions humaines de se libérer symboliquement.

Le penseur Dédé/le danseur pédé ;

La contrepèterie est fondée sur la permutation des phonèmes , des lettres ou des syllabes dans un ensemble des mots , l’anagramme porte sur deux ou plusieurs mots:

Griller le pain / piller le grain ;

Les effets de la contrepèterie : surprise, comique, satire .

Bains de gros thé / grains de beauté ;

Pomper les trous /tromper les poux /tromper l’époux ;

Ce jeu ludique est utilisé par des écrivains comme Robert Desnos (" Les lois de nos désirs sont des dés sans loisir. " -- Corps et biens), Jacques Prévert (" Partir c'est mourir un peu " " Martyr, c'est pourrir un peu. ") ou Frédéric Dard, connu sous le pseudonyme San-Antonio dont le personnage principal de ses polars , le commissaire San-Antonio est le maître des calembours et des contrepèteries.

L’hebdomadaire satirique » Le canard enchainé » publie une rubrique ou les contrepèteries sont à l’honneur, la rubrique s’intitule » Sur l’album de la comtesse».

D’autres exemples :

Aimable souvent est sable mouvant Robert DESNOS

Paul Claudel : Voilà une chose qui me fait prier.

vendredi 7 novembre 2008

Mona Lisa ou la Joconde

La toile la plus précieuse du monde La Joconde , de Léonard de Vinci (1452-1519) se trouve au Louvre , à Paris. Elle devait être assurée 600 millions de francs lorsqu’elle franchit l’Atlantique pour une exposition à New-York et à Washington, du 14 décembre 1962 au 12 mars 1963. Mais les primes étaient si élevées qu’il apparut moins coûteux de prendre d’exceptionnelles mesures de sécurité, et le tableau ne fut pas assuré. Le tableau, peint entre 1503 et 1507 , mesurant 77 cm x 53 cm, représenterait soit Mona(diminutif de Madonna), Lisa Gherardini, femme de Florentin Francesco del Giocondo, soit Constantza D’Analas, maîtresse de Jules de Médicis, surnommée la Joconde. En 1517 , François 1er l’acheta avec 4000 florins d’or soit 15,3Kg d’or , pour décorer la salle de bain . La Joconde est le portrait d'une jeune femme, sur fond d'un paysage montagneux aux horizons lointains et brumeux. La femme porte une robe et, sur la tête un voile noir transparent. On remarque qu' elle ne présente ni cils, ni sourcils. Elle est assise sur un fauteuil dont on aperçoit le dossier à droite du tableau. Ses mains sont croisées, posées sur un bras du fauteuil. Elle se trouve probablement dans une loggia : on peut voir un parapet juste derrière elle au premier tiers du tableau. À l'arrière plan se trouve un paysage montagneux dans lequel se détachent un chemin sinueux et une rivière qu'enjambe un pont de pierre. On peut remarquer une cassure de la ligne d'horizon. La tête de la Joconde sépare le tableau en deux parties dans lesquelles l'horizon ne se trouve pas au même niveau. La source de lumière provient essentiellement de la gauche du tableau. (description du tableau d’après Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Joconde)